Perdre une femme : ne commettez pas cette erreur

Est-ce qu’il vous est déjà arrivé d’avoir des regrets amères en voyant une femme qui vous plaisait vous échapper… ?

Est-ce que vous avez déjà ressenti cette frustration qu’on peut ressentir quand la fille avec laquelle on voulait aller plus loin se fait choper par un autre mec ?

Vous n’êtes pas tout seul.

Tellement l’ont déjà ressenti…

Et c’est normal.

Car c’est souvent dû à une erreur que beaucoup commettent et qui en général ne pardonne pas.

Et le pire, c’est qu’en commettant cette erreur, on croit parfois bien faire.

Pour que vous compreniez bien de quoi il s’agit, je vais l’illustrer par un exemple de mon vécu.

J’aurais pu vous choisir d’autres exemples (car ça ne m’est pas arrivé qu’une fois), mais j’ai choisi celui-là car il illustre particulièrement la chose.

Je m'appelle Jacques Vitelli.

Depuis 2013, j’ai pu accompagner plus de 2000 hommes dans leur quête d’une vie sentimentale et sexuelle épanouissante...

...en les aidant à (re)devenir cet homme masculin et désirable que leur compagne ne quittera pour rien au monde.

Vous pouvez avoir un aperçu des transformations vécues par mes abonnés et lecteurs en consultant leurs témoignages, qui se comptent désormais par centaines.

Commençons sans plus tarder.

C’était à l’époque où j’étais au lycée, en seconde :

C’était l’hiver (février si je me souviens bien). Et je partais en colo de sports d’hiver avec l’UCPA.

Ah la la, les colonies de vacances, que du bonheur pour choper (si seulement j’avais été aussi bon à l’époque, je me serais fait tellement plaisir).

La colo se déroule dans les Alpes, dans un centre au pied des pistes.

Au départ pour la colo, il y a un point de rendez-vous dans une grande gare parisienne pour prendre un car de nuit : tous ceux qui viennent de région parisienne devaient se retrouver (avec les moniteurs, les organisateurs) à ce point de rendez-vous d’où partent plusieurs cars qui vont rouler toute la nuit.

Après avoir dit au revoir aux personnes qui nous accompagnent, on commence à embarquer dans les cars.

Dans la queue pour monter dans le car, une jolie petite brune engage la conversation avec moi.

On engage la conversation.

Une conversation banale, pas spécialement intéressante, mais c’est déjà ça.

Dès le début, si je me souviens bien, on met les sièges du car en position nuit (c’est assez particulier, on rabat les sièges et on obtient des couchettes inférieures et supérieures, sur lesquelles on peut quand même se tenir côte à côte car c’est relativement large).

Et on continue à discuter dans le car.

Après avoir mis les sièges en position couchette, on s’est même quasiment mis à côte à côte – par accident, un peu par hasard bien sûr, il n’y a pas eu d’escalade physique à ce moment-là (même si je suis sûr que j’aurais pu la choper dès ce moment-là, car maintenant avec le recul je sais qu’elle était attirée et que sans le vouloir j’avais réussi à la séduire de manière efficace).

Je vous passe les détails de l’arrivée, de la découverte des chambres avec les nouveaux potes de colo, des séances de ski/snowboard (super intéressant et vraiment tripant mais ce n’est pas ce qui nous intéresse ici).

J’ai oublié de nommer cette charmante demoiselle qui est l’objet de cette histoire : appelons-la Barbara.

La deuxième fois que je lui parle, c’est le premier jour de ski (donc le lendemain du départ). Au moment où tout le monde prend son matériel de ski et commence à se diriger vers les remontées mécaniques.

On discute de trucs banals, on se demande comment s’est passée notre arrivée dans les lieux… Classique.

Mais le plus important ? C’est que…

Je sens qu’elle est attirée. Je le sais. Même avec mon manque d’expérience :

Elle me regarde souvent, elle vient souvent engager la conversation avec moi, elle relance dans les blancs qui sont 3 signes d’une femme vous veut.

Des signes d’intérêts qui ne trompent pas.

Lire aussi : Comportement d’une femme attirée par un homme

Je me mets alors dans la tête de la choper.

Et ça tombe bien, car le lendemain soir il y a la première soirée dansante de la semaine. Une sorte de “boum”.

Alors bien sûr, je me dis qu’à cette soirée, je vais la choper (et elle s’est probablement mis la même chose en tête).

Alors le lendemain soir, je suis chaud (et peut-être un peu anxieux, car je me mets beaucoup de pression, trop de pression…)

Sauf que le problème, c’est que je suis joueur, mais à ce moment-là pas dans le bon sens du terme (et bien sûr, à cette époque je n’y connaissais rien à la séduction et je manquais cruellement d’expérience) :

Vous vous en doutez : Barbara n’est pas la seule fille de cette colo.

Depuis le début de la colo, j’ai croisé pas mal d’autres filles qui me plaisent tout autant (mais auxquelles je n’ai pas parlé).

Alors je me dis que je vais d’abord essayer de choper ces filles-là.

Sauf que comme un con, j’attends.

Et j’attends

Je ne vais même pas leur parler.

En fait, j’espère qu’en tirant avantage d’un petit jeu que les organisateurs ont mis en place, tout sera plus facile :

Il s’agit d’un système de rencontres foireux avec des petits bouts de papier et un tirage au sort (je ne me souviens plus comment ça fonctionnait, mais c’était sans intérêt).

Bref, je passe la soirée à repousser toujours à plus tard mes approches.

Et à force de repousser sans cesse à plus tard, je n’aborde aucune fille qui m’intéresse.

La belle Barbara est là elle aussi.

Mais jusqu’à présent on ne s’est échangés qu’un sourire (comme je vous l’ai dit, je voulais attendre).

Elle s’est faite belle. Vraiment bandante.

Mais comme je vous l’ai dit, je préfère attendre.

Je me dis que je vais la choper en fin de soirée si ça ne marche avec les autres filles.

Je me dis qu’elle sera toujours là, à m’attendre bien sagement.

D’un côté j’ai raison, elle est attirée.

Mais d’un autre côté, je suis naïf. Incroyablement naïf.

À une heure relativement tardive de la soirée (et encore, si je me souviens bien ce n’était pas du tout la fin de la soirée), alors que je me rends aux toilettes pour aller pisser, je passe devant une salle qui s’apparente à une sorte de salle d’attente avec des fauteuils et des canapés.

Et là qui je vois ?

Barbara. En train d’embrasser un autre gars. Ils s’embrassent fougueusement. Elle est chaude.

Je me remets dans les émotions du moment, et quelle frustration.

Mais j’ai voulu attendre, sans rien faire. Simplement attendre bêtement. Bien fait pour moi.

Au final, à la fin de soirée, je me retrouve avec rien : zéro meuf. Et je me couche avec un regret amère… à maudire le type qui avait chopé la jolie Barbara à ma place.

J’étais encore trop con pour comprendre que celui qui avait foiré, c’était moi.

L’autre gars avait fait ce que j’aurais dû faire depuis longtemps (surtout que lui ne la connaissait pas avant la soirée).

Ce qui a fait la différence entre lui et moi ?

Lui est passé à l’action.

Il n’a pas attendu. Il n’a pas perdu sont temps.

Il lui a montré ce qu’il voulait et l’a obtenu.

Et le pire, c’est que ce gars n’avait vraiment rien de spécial : il était loin d’être beau gosse.

C’était d’autant plus frustrant qu’à l’époque je pensais que le physique était ultra important.

Les jours d’après je me forçais à la snober, de manière à lui faire sentir qu’elle avait fait de la merde.

Mais au final, elle avait eu raison.

Mettez-vous à sa place :

Elle aussi voulait séduire et se faire séduire.

Elle voulait se faire choper par un mec. Et quand elle a vu que je ne faisais rien, elle n’a pas voulu prendre le risque d’attendre toute la soirée.

Elle n’a pas voulu prendre le risque de se retrouver toute seule à la fin.

Alors elle s’est laissée choper par celui qui a eu les couilles de passer à l’action.

La suite de l’histoire pour moi ?

Il n’y a pas grands choses à dire…

Toujours dans cette mentalité d’attente, de passivité, je n’avais chopé aucune nana de toute la colo.

Avec le recul, c’est sans importance, mais je me souviens qu’à l’époque ça m’avait vraiment fait chier. Ça faisait mal. D’autant plus que dès le début de la colo je m’étais mis dans la tête de choper une fille.

Mais voilà :

J’avais trop réfléchi, pas assez agi.

Or l’action, c’est la clé pour conquérir une femme.

L’erreur la plus frustrante qui vous conduit à perdre une femme ?

Attendre.

Attendre en vous disant que c’est du tout cuit. Que la fille sera toujours là, prête à vous accueillir entre ses jambes.

Alors bien sûr, il faut savoir faire monter le désir, savoir quand on peut aller plus vite et savoir quand y aller plus doucement…

Mais si vous savez que la fille est attirée, ne tardez pas. Sinon quelqu’un d’autre s’en occupera à votre place.

Jacques Vitelli

Expert des rapports hommes-femmes et passionné de psychologie évolutionniste, Jacques aide depuis plus de 10 ans les hommes de tout âge à reprendre le contrôle de leur vie sexuelle et sentimentale. Il est connu pour son concept de masculinité authentique, qui permet aux hommes d'attirer naturellement les femmes qui leur plaisent, en exploitant le potentiel masculin qui sommeille en eux.